23 avril 2008
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Le président avait promis une rupture et il a tenu promesse :
- rupture de l'éducation
- rupture des services publics
- rupture de la confiance
- rupture de la cohésion sociale
- rupture d'une diplomatie courageuse française...
Ce n'était certainement pas la rupture annoncée ni celle attendue et les sondages montrent que les français s'en rendent compte (malheureusement trop tard).
Mais tout n'est pas perdu. Un vecteur peut permettre au moins de freîner l'hystérie de la présidence : sa majorité.
Les quelques 300 députés UMP ne sont pas tous des ultra-réctionnaires.
Comment peuvent-ils accepter la casse du modèle Gaulien dont ils font leurs choux gras auprès des anciens à chaque élection?
Comment peuvent-ilsaccepter d'être écartés de chacune des décisions législatives dont ils sont pourtant les tenants?
Le débat sur la RGPP a démontré cette lassitude de la majorité à suivre un gouvernement qui ne les utilise que pour valider des textes imposés. Ils veulent plus de liens, plus de pouvoirs.
Donnons-leur cette capacité. Rappelons-leur que ce sont eux les législateurs, qu'ils peuvent refuser les textes proposé, qu'ils peuvent aussi proposer et que la convergence entre les partis souhaitée dans l'hémicycle peut être trouvée en revenant aux fondamentaux du Gaullisme mettant l'homme et la société au coeur de la volonté politique.
Un premier geste pour cela est de signer la pétition pour les services publics dont le lien est le suivant : http://petitions.fsu.fr/
La deuxième est d'imprimer le texte et de l'envoyer à son député et à son sénateur quel que soit son appartenance politique.
La troisième sera de voter contre M. SARKOZY aux prochaines élections car il n'apporte que destruction de ce qu'il prétend vouloir sauver : notre vie de tous les jours !
- rupture de l'éducation
- rupture des services publics
- rupture de la confiance
- rupture de la cohésion sociale
- rupture d'une diplomatie courageuse française...
Ce n'était certainement pas la rupture annoncée ni celle attendue et les sondages montrent que les français s'en rendent compte (malheureusement trop tard).
Mais tout n'est pas perdu. Un vecteur peut permettre au moins de freîner l'hystérie de la présidence : sa majorité.
Les quelques 300 députés UMP ne sont pas tous des ultra-réctionnaires.
Comment peuvent-ils accepter la casse du modèle Gaulien dont ils font leurs choux gras auprès des anciens à chaque élection?
Comment peuvent-ilsaccepter d'être écartés de chacune des décisions législatives dont ils sont pourtant les tenants?
Le débat sur la RGPP a démontré cette lassitude de la majorité à suivre un gouvernement qui ne les utilise que pour valider des textes imposés. Ils veulent plus de liens, plus de pouvoirs.
Donnons-leur cette capacité. Rappelons-leur que ce sont eux les législateurs, qu'ils peuvent refuser les textes proposé, qu'ils peuvent aussi proposer et que la convergence entre les partis souhaitée dans l'hémicycle peut être trouvée en revenant aux fondamentaux du Gaullisme mettant l'homme et la société au coeur de la volonté politique.
Un premier geste pour cela est de signer la pétition pour les services publics dont le lien est le suivant : http://petitions.fsu.fr/
La deuxième est d'imprimer le texte et de l'envoyer à son député et à son sénateur quel que soit son appartenance politique.
La troisième sera de voter contre M. SARKOZY aux prochaines élections car il n'apporte que destruction de ce qu'il prétend vouloir sauver : notre vie de tous les jours !